Une erreur embarrassante
Un adhérent avait souscrit auprès d’ENI un contrat de fourniture de gaz et électricité.
Toutefois, le 5 octobre 2018, par le biais d’un courriel, il a fait part de sa volonté de résilier ce contrat. ENI a accusé bonne réception de cette résiliation, mais le numéro du point de livraison du contrat de l’adhérent comportait une erreur, ce qu’ENI a confirmé le 21 novembre 2018, date à laquelle le contrat aurait dû être effectivement résilié.
Du fait de cette erreur d’adresse, l’adhérent a continué à recevoir pendant plusieurs mois des demandes de paiement de factures ainsi que des menaces de poursuites judiciaires de la part d’une société de recouvrement mandatée par ENI.
L’UFC Que Choisir a donc envoyé un premier courriel à la société de recouvrement en lui demandant de bien vouloir suspendre le dossier en attendant la résolution du litige.
Un second courriel d’UFC adressé à ENI expliquait qu’il y avait probablement confusion entre notre adhérent et un autre client car les factures ne correspondaient à aucune de ses adresses, ni à son ancienne, ni à sa nouvelle.
C’est pourquoi notre association a demandé à ENI de mettre un terme à ses relances de paiement injustifiées, ce qui a été fait peu après.